La station météo se trouve dans la commune de Mairy-sur-Marne (dans la Marne) au centre de l'ex région Champagne-Ardenne (France).
Ce site n'a aucune vocation professionnelle puisque les données proposées proviennent d'une station météo personnelle.
Il n'a pour but que de partager un intérêt pour la météo qu'il fait à Mairy-sur-Marne et ses environs et permet de consulter la météo et les rapports sur la zone concernée.
Note : Attention, les informations ainsi que les prévisions sur ce site, ne sont données qu'à titre indicatif, elles ne peuvent en aucun cas être utilisées pour garantir la protection des personnes ou de biens quelconques.
La météo comme tout domaine dans lequel on est novice peut paraître compliqué. En effet un tas de termes météorologiques sont utilisés et on ne sait pas toujours à quoi cela correspond.
Pas de panique, voici quelques définitions qui vont vous aider à comprendre les graphiques et à mieux appréhender la météo.
Sources : Wikipedia
Pression atmosphérique
La pression atmosphérique est la pression qu'exerce le mélange gazeux constituant l'atmosphère considérée, sur Terre : de l'air, sur une surface quelconque au contact avec cette atmosphère.
Sur la Terre, la pression atmosphérique moyenne au niveau de la mer dépend essentiellement de la masse de l'atmosphère, celle-ci pouvant évoluer avec la masse moyenne des gaz à concentration variable comme la vapeur d'eau.
Elle demeure proche de l'atmosphère normale, valant 101 325 Pa. La pression atmosphérique se mesure à l'aide d'un baromètre, d'un hypsomètre ou d'un altimètre.
Comprendre l’humidité extérieure
L’hygrométrie caractérise l'humidité de l'air, à savoir la quantité d'eau sous forme gazeuse présente dans l'air. Elle ne prend pas en compte l'eau présente sous forme liquide ou solide, elle se mesure avec un hygromètre. Une humidité de 100 % correspond à un air saturé de vapeur d'eau (brouillard). Une humidité nulle n'existe pas. On « ressent » assez facilement l'humidité de l'air, par exemple :
En été une « chaleur humide » empêche la transpiration, on « suffoque ».
En hiver un « froid sec » est beaucoup plus supportable qu'un « froid humide » qui imprègne les vêtements et refroidit le corps.
Point de rosée
Le point de rosée est une donnée thermodynamique caractérisant l’humidité dans un gaz. Le point de rosée de l’air est la température à laquelle la pression partielle de vapeur
d'eau est égale à sa pression de vapeur saturante. Il s'agit donc de la température à laquelle il faut refroidir un volume d'air, à pression et humidité constantes, pour qu'il devienne saturé.
Humidex
L'humidex (indice) est une mesure de la chaleur ressentie par les gens. Il est destiné au public en général et exprime l'effet combiné de la chaleur et de l'humidité. C'est un nombre qui décrit l'intensité de chaleur ressentie par les gens, tout comme le facteur de refroidissement éolien qui décrit l'intensité du froid ressenti par les gens. L'humidex est utilisé comme mesure de la chaleur perçue résultant de l'effet combiné de l'humidité excessive et d'une température élevée.
Facteur vent ou Windchill
Le refroidissement éolien, parfois aussi appelé facteur vent dans le langage populaire, désigne la sensation de froid induite par le vent sur un organisme qui dégage de la chaleur et qui s'ajoute à la température réelle de l'air ambiant. Le refroidissement éolien désigne une sensation ressentie directement par le corps d'un être vivant à sang chaud. Le déplacement d'air, en soi, ne fait pas baisser la température. Cependant, un homme ou un animal forme une couche d'air à la surface de sa peau grâce à son métabolisme interne. L'air est un excellent isolant thermique et cette couche emprisonnée dans les vêtements ou la fourrure garde la peau à une température constante.
À quoi correspond 1 mm de pluie
La mesure de la pluie, appelée pluviométrie, se fait avec un simple appareil nommé pluviomètre. Cette mesure correspond à la hauteur d'eau recueillie sur une surface plane. Elle s'exprime en millimètres (mm), et parfois en litres par mètres carrés (litre/m²).
Ainsi 1mm de pluie représente « 1 litre d’eau sur 1 mètre² » ou à plus grande échelle « 10 000 litres d’eau sur 1 hectare »
On sépare l'intensité de la pluie en : pluie faible (d'une goutte à 2 mm/h), modérée (2 mm/h à 7,6 mm/h et forte (plus de 7,6 mm/h).
La neige industrielle Source : Météo France
En hiver, et malgré l'absence de perturbation, certaines villes de l'Hexagone connaissent parfois des chutes de neige. Liée à la conjonction de conditions météorologiques hivernales particulières et aux activités humaines, non prises en compte dans les modèles météorologiques, cette neige dite « industrielle » est particulièrement difficile à prévoir.
Côté météo, ces chutes de neige se produisent par temps calme et froid en présence d'un puissant anticyclone hivernal avec une forte inversion de température*. Cette inversion agit comme un couvercle et a pour effet d'emprisonner l'air près du sol empêchant la dispersion de l'humidité et de la pollution. En hiver, ces conditions anticycloniques sont souvent synonymes de brouillards et stratus tenaces dans les plaines et les vallées. Mais à elles seules ces conditions ne suffisent que rarement à produire de la neige, et c'est là que l'activité humaine intervient : la pollution liée aux industries, à la circulation, aux appareils de chauffage vient charger l'air ambiant d'humidité supplémentaire mais aussi de petites particules solides appelées noyaux de condensation. Par température négative et en l'absence de vent, la vapeur d'eau se fixe sur ces noyaux, gèle et se transforme en… neige. Cette neige très fine, qui tombe sous forme d'aiguilles, peut réduire fortement la visibilité et tombe localement autour de la zone « polluée ».
La difficulté de prévision de ce phénomène tient à deux aspects :
- il est difficile de bien prévoir la persistance des conditions anticycloniques froides et humides nécessaires à sa formation,
- mais surtout les émissions humaines ne sont pas prises en compte dans les modèles météorologiques : la concentration en noyaux d'origine industrielle et la physique qui régit la formation de glace à leur surface ne sont pas intégrés dans les modèles de prévision. Ces derniers ne peuvent ainsi pas prévoir de telles chutes de neige.